« Petits mystères des grands bois ». Tel est le sous-titre de l’un des documents édités par « La Hulotte » - la fameuse revue des « terriers » - sur un sujet essentiel en matière de paysage : la dimension « sensible » dans la compréhension et la perception de nos peuplements forestiers…très, très loin de la vision sylvicole pure et dure, qui prévaut trop souvent encore !
Quelle personne douée d’un sens de l’observation n’a pas eu un véritable choc émotionnel devant ces vieux arbres qui – après un accident climatique qui les a mis à terre – reprennent vigueur sur la souche originelle, produisant dès lors de véritables sculptures vivantes, expression « onirique » de la vie végétale.